République Démocratique du Congo: Parc national de la Salonga
Environ 3% de la population de la République démocratique du Congo s’identifie comme autochtone, appartenant principalement aux groupes Baka, Mbuti, Batwa et Twa. Bien que tous les citoyens congolais soient égaux devant la loi et que le racisme et la discrimination ethnique soient interdits, les droits humains des peuples autochtones sont souvent bafoués et ignorés. Il est peu probable que les abus qu’ils subissent soient sanctionnés par le système judiciaire en raison de la discrimination structurelle et de la croyance du reste de la société qu’ils sont des citoyens de seconde zone. Les peuples autochtones de la RDC n’ont aucune représentation ni voix au chapitre dans la prise de décision politique, et leur accès aux services sociaux de base tels que les soins de santé et l’éducation est sévèrement limité, restant inférieur à la moyenne nationale.
Le législateur congolais des différentes lois qui interviennent dans le secteur de l’environnement prévoit des dispositions qui exigent à l’autorité de tutelle de travailler en collaboration avec les communautés locales et peuples autochtones.
Ces derniers sont considérés comme des acteurs très importants dans la gestion des ressources naturelles et la conservation de la biodiversité.
En 2007, la RDC n’a pas ratifié la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et ne reconnaît toujours pas officiellement l’existence des peuples autochtones. La RDC ne fait aucune mention d’une prise de conscience de leurs différents modes de vie, par exemple en tant qu’éleveurs, agriculteurs ou chasseurs-cueilleurs.
Le partenaire local travaillant en RDC est JUREC, une organisation non gouvernementale enregistrée en vertu de la loi congolaise en 2014. Depuis 2018, elle est active dans la protection de l’environnement et la bonne gouvernance des ressources naturelles au profit des peuples autochtones et des communautés locales. JUREC traite principalement des questions de droit de l’environnement qui se situent au carrefour des questions sociales. Y compris les droits d’utilisation des ressources naturelles, le partage des avantages et l’inclusivité des peuples autochtones et des communautés locales.
Cameroun : Parc National et Périphérie de Lobéké
- Les peuples autochtones, dont les Baka, constituent l’une des couches les plus pauvres du Cameroun.
- Ils manquent d’accès aux services de base comme l’éducation, la santé, l’eau potable et l’assainissement.
- Ils sont souvent victimes de discrimination et d’exploitation par les populations bantoues majoritaires.
- Les terres ancestrales des peuples autochtones sont menacées par l’exploitation forestière, l’expansion des plantations et l’agro-industrie.
- Ils sont souvent contraints de quitter leurs terres et de se reloger dans des zones marginales.
- La perte de leurs terres et de leurs ressources naturelles affecte gravement leur mode de vie et leur culture.
- Le Cameroun ne dispose pas d’une loi spécifique reconnaissant les droits des peuples autochtones.
- Leurs droits fonciers et coutumiers ne sont pas protégés par la loi.
- Cela les rend vulnérables aux abus et à l’exploitation.
- Les peuples autochtones sont souvent victimes de violations des droits humains, notamment de violence, d’intimidation et d’arrestations arbitraires.
- L’accès à la justice est souvent limité pour eux.
- Les peuples autochtones sont souvent victimes de violations des droits humains, notamment de violence, d’intimidation et d’arrestations arbitraires.
- L’accès à la justice est souvent limité pour eux.
- Malgré ces efforts, les peuples autochtones du Cameroun continuent de faire face à de nombreux défis.
- La pauvreté, la marginalisation, la perte de terres et de ressources, et le manque de reconnaissance juridique restent des problèmes majeurs.
- Malgré ces efforts, les peuples autochtones du Cameroun continuent de faire face à de nombreux défis.
- La pauvreté, la marginalisation, la perte de terres et de ressources, et le manque de reconnaissance juridique restent des problèmes majeurs.
Situation actuelle des peuples autochtones en République Centrafricaine (RCA)
La situation en RCA est particulièrement complexe et volatile en raison du conflit en cours. Les informations sur la situation des peuples autochtones peuvent être difficiles à obtenir et à vérifier.
- Les peuples autochtones de la RCA, souvent désignés comme « Pygmées », constituent l’une des populations les plus pauvres et marginalisées du pays.
- Ils manquent d’accès aux services de base comme l’éducation, la santé, l’eau potable et l’assainissement.
- Ils sont victimes de discrimination et d’exploitation par les populations bantoues majoritaires.
- Leurs terres ancestrales sont menacées par l’exploitation forestière, l’expansion des plantations et l’agro-industrie.
- Ils sont souvent contraints de quitter leurs terres et de se reloger dans des zones marginales.
- La perte de leurs terres et de leurs ressources naturelles affecte gravement leur mode de vie et leur culture.
- La RCA ne dispose pas d’une loi spécifique reconnaissant les droits des peuples autochtones.
- Leurs droits fonciers et coutumiers ne sont pas protégés par la loi.
- Cela les rend vulnérables aux abus et à l’exploitation.
- Les peuples autochtones sont souvent victimes de violations des droits humains, notamment de violence, d’intimidation et d’exactions de la part des groupes armés.
- L’accès à la justice est souvent limité pour eux.
- Le gouvernement de la RCA a pris certaines mesures pour améliorer la situation des peuples autochtones, notamment la création d’un ministère en charge de la promotion des peuples autochtones.
- Des organisations de la société civile centrafricaine et internationales luttent également pour la défense des droits des peuples autochtones.
- Malgré ces efforts, les peuples autochtones de la RCA continuent de faire face à de nombreux défis.
- La pauvreté, la marginalisation, la perte de terres et de ressources, le manque de reconnaissance juridique et les violations des droits humains persistent.
- Les peuples autochtones de la RCA vivent dans une situation de grande précarité.
- Des efforts sont nécessaires pour améliorer leur situation et garantir leurs droits fondamentaux.